16e Congrès de l’European Glaucoma Society, Dublin 1er au 4 juin 2024 Qu’est-ce que l’European Glaucoma Society ? La Société européenne du glaucome (en anglais : European Glaucoma Society, EGS) est...
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Foire aux questions sur le glaucome
Retrouvez ici les questions fréquentes qui nous sont posées sur le glaucome.
Définition du glaucome
Le glaucome est une neuropathie progressive qui atteint le nerf optique et qui est liée à plusieurs facteurs de risque, dont l’élévation de la pression intraoculaire.
Il y a 5 facteurs principaux de risque :
- l’élévation de la PIO (pression oculaire),
- l’âge,
- les antécédents familiaux,
- la myopie forte,
- certaines origines ethniques (peaux pigmentées)
Tous les facteurs extra oculaires pouvant impacter l’irrigation du nerf optique comme le diabète, une hypotension artérielle nocturne ou toutes les variations de la tension artérielle, l’apnée du sommeil, la maladie vasospastique (migraine, maladie de Raynaud) pourraient également jouer un rôle, mais sans preuves formelles à ce jour.
Normalement, à partir de 40 ans, tout le monde doit se faire dépister.
Oui, c’est l’hypertonie oculaire isolée. L’élévation pathologique de la PIO est le principal facteur de risque de conversion vers le glaucome primitif à angle ouvert (GPAO) ainsi qu’un facteur essentiel d’évolution du glaucome. Ce risque de conversion est globalement estimé à environ 10% à cinq ans. La majorité des sujets présentant une hypertonie oculaire (HTO) n’est pas à risque de glaucome et 30 à 40% des patients non traités ont un risque inférieur à 1% de développer un glaucome chaque année.
Très peu, l’hypertension artérielle n’est pas un facteur de risque de glaucome, et ces deux paramètres physiologiques sont peu corrélés.
Oui, le glaucome congénital existe, et la cataracte chez le jeune enfant peut favoriser l’apparition d’un glaucome.
Rien ne permet d’incriminer une utilisation importante de la vision ou des activités particulières (écrans, etc.) dans l’apparition ou l’aggravation d’un glaucome.
La cortisone en collyre ou par voie générale (comprimés) peut révéler ou déclencher un glaucome à angle ouvert chez des sujets prédisposés génétiquement à la maladie. Certains médicaments qui dilatent la pupille peuvent déclencher un glaucome par fermeture de l’angle chez des sujets prédisposés anatomiquement à la maladie. Ces dernières contre-indications ne s’appliquent qu’au glaucome à angle par fermeture de l’angle. Les patients ayant un glaucome à angle ouvert n’ont donc pas de contre-indications médicamenteuses absolues. En résumé, si vous avez un glaucome à angle ouvert, ou par fermeture de l’angle qui a bénéficié d’un traitement au laser (qui a donc permis de ré-ouvrir l’angle), vous pouvez prendre tous les médicaments où il est indiqué sur la notice « contre-indiqué en cas de glaucome à angle fermé »
Le tabac n’est pas à l’origine du glaucome mais il peut provoquer d’ autres atteintes du nerf optique. Le tabac est aussi connu pour abîmer les vaisseaux sanguins et le nerf optique a besoin d’être bien irrigué pour bien fonctionner. Il est donc également recommandé d’éviter de fumer si on est atteint d’un glaucome. Il est également recommandé de lutter contre les facteurs de risque cardio-vasculaire qui altèrent les vaisseaux sanguins et donc l’irrigation du nerf optique.
Le glaucome ne fragilise pas les globes oculaires Si vous avez été opéré, il faut être plus attentif et consulter rapidement en cas d’infection ou de traumatisme oculaire.
Diagnostic
- La mesure de la pression intraoculaire (PIO).
- La mesure de l’épaisseur cornéenne centrale (la pachymétrie). L’épaisseur de la cornée modifie la mesure de PIO par tonométrie. Ainsi, les cornées minces (moins de 500µm) donnent lieu à une sous-estimation de mesure alors que les cornées épaisses, de plus de 600 microns, aboutissent à une surestimation significative de la PIO.
- L’examen de l’angle irido cornéen (la gonioscopie)
- Un fond de l’oeil pour examiner la tête du nerf optique complété par un analyseur automatisé (OCT : tomographie à cohérence optique) de la tête du nerf optique et de la couche des fibres visuelles
- Un relevé du champ visuel par périmétrie automatisée standard.
Glaucome à angle ouvert : aucun au stade de glaucome débutant ou modéré, la perte de vision n’est perçue que très tardivement.
Glaucome à angle fermé : parfois rien, parfois des douleurs et une baisse de la vue, il faut alors consulter en urgence.
Chez un ophtalmologiste. Attention aux examens réalisés par les opticiens qui ne font qu’un examen purement optique, ce n’est pas un examen ophtalmologique complet. Vous n’aurez pas de mesure de pression intraoculaire, pas d’examen de l’angle irido-cornéen, de l’épaisseur de la cornée, et du fond d’œil (du nerf optique et de la rétine), donc pas de dépistage du glaucome.
C’est variable en fonction de l’atteinte du champ visuel et du stade évolutif du glaucome. Dans les formes débutantes, avec des glaucomes qui sont bien contrôlés par le traitement, on estime qu’il suffit de deux contrôles par an chez l’ophtalmologiste. En revanche, dans certaines circonstances, quand le glaucome progresse ou quand il s’agit d’un glaucome évolué, on peut raccourcir ces délais et encore plus quand il s’agit d’un glaucome avancé, où, en général, le suivi peut se faire tous les trois à quatre mois, en fonction des patients, en fonction du déficit du champ visuel et en fonction du contrôle du glaucome.
C’est en comparant l’évolution dans le temps des relevés du champ visuel et de l’OCT que l’on suit les patients de façon précise (on voit si les paramètres sont stables ou si ils évoluent dans le temps). Le champ visuel représente le retentissement fonctionnel de la maladie.
Il faut insister, demander à faire des pauses au cours de l’examen, se reposer entre les deux yeux, demander à votre médecin si un programme de test plus court est possible.
Traitement et prise en charge
Les collyres et/ou un traitement par laser sont très souvent utilisés comme traitement de 1ère ligne lors du diagnostic d’un glaucome. Le recours à un traitement chirurgical d’emblée est très rare.
Ce sont deux thérapies différentes, l’un n’exclue pas l’autre, le laser peut parfois remplacer un traitement par collyres, le précéder ou le compléter.
En cas glaucome, l’objectif du traitement est de faire baisser la pression intraoculaire pour éviter une évolution.
En général, une chirurgie est réalisée quand les collyres et/ou le laser n’ont pas permis ou ne permettent plus de contrôler l’évolution du glaucome. Parce qu’un acte chirurgical est quand même beaucoup plus risqué que d’utiliser des collyres, on réserve souvent la chirurgie aux glaucomes réfractaires aux autres traitements. Pour certains cas particuliers, par exemple un diagnostic de glaucome à un stade très évolué, un glaucome congénital ou de l’enfant, ou pour certains glaucomes par fermeture de l’angle, on pratique parfois d’emblée la chirurgie parce qu’on sait que de toute façon les collyres ou le laser ne suffiront pas.
Il existe, pour la réalisation d’une chirurgie du glaucome, un certain nombre de nouveaux drains (équivalents de petits tubes), que l’on peut mettre en place soit par voie externe, c’est-à-dire par la conjonctive et par la sclère, soit par voie interne, dans l’angle irido-cornéen. Ils présentent tous la nécessité d’un suivi régulier, notamment en post-opératoire, par l’ophtalmologiste. Les baisses de pression intra-oculaire que l’on peut obtenir sont intéressantes, mais actuellement la chirurgie classique permet quand même souvent une réduction plus importante de la pression intraoculaire.
Ces techniques sont parfois appelées chirurgie micro-invasive du glaucome.
Il faut les mettre en fonction de l’efficacité des collyres. Les collyres qui agissent 24 heures, il faut les mettre toutes les 24 heures. Ceux qui agissent sur 12 heures, les mettre 2 fois par jour, soit toutes les 12 heures, ceux qui agissent sur 8 heures, les mettre 3 fois par jour soit toutes les 8 heures. Mais il ne faut pas se stresser, exceptionnellement, ce n’est pas à 1/2 heure près.
Pour bien les mettre, voir le tutoriel sur le site de l’association.
Parfois les conservateurs ou les excipients présents dans les génériques peuvent occasionner des effets secondaires pas observés avec les médicaments princeps, mais généralement ils sont aussi efficaces.
Oui ça peut arriver, il faut prévoir le renouvellement de votre ordonnance en amont. Dans le cas contraire votre pharmacien peut contacter les pharmacies voisines pour essayer de s’approvisionner, ou en dernier recours votre ophtalmologiste pour demander un traitement re remplacement.
Quand on a un glaucome à angle ouvert, aucun médicament n’est contre-indiqué. Ces médicaments que l’on voit, sur les notices, « à éviter en cas de glaucome » intéressent en fait les glaucomes à angle étroit et les glaucomes à angle fermé, car ils risquent d’entraîner une fermeture de l’angle irido-cornéen et ainsi d’aggraver le tableau clinique. Le mieux est de poser la question à son ophtalmologiste, pour savoir si on peut prendre tel médicament ou non.
Une alimentation variée est suffisante. Privilégiez les carottes, choux, toutes les baies (myrtilles, canneberge, cassis…) et les fruits secs.
Un sujet glaucomateux a tout à fait le droit d’avoir une consommation modérée d’alcool. L’alcool a forte dose et/ou consommé régulièrement peut avoir un effet toxique sur le nerf optique, et la consommation doit rester raisonnable. La consommation de tabac doit être évitée tant que possible. Le café n’a a priori pas d’effets délétères, même si une consommation importante peut élever un peu et temporairement la pression intraoculaire.
Les collyres anti-glaucomateux – notamment les collyres avec conservateurs – peuvent favoriser la survenue d’un syndrome sec oculaire ou aggraver un syndrome sec existant. C’est une des raisons qui amènent, lorsque c’est possible, à privilégier l’utilisation des collyres sans conservateur. Parlez-en à votre ophtalmologiste, il peut vous conseiller des collyres lubrifiants, et parfois modifier le traitement contre le glaucome.
Excepté les traitements diminuant la pression intraoculaire chez les patients ayant une hypertension oculaire, il n’existe pas de traitement préventif du glaucome chronique à angle ouvert (vaccins, suppléments alimentaires, etc.).
Les voyages sont permis. Il n’existe pas de danger à prendre l’avion ou un autre moyen de transport. Autrefois les voyages en avion étaient déconseillés en raison de la faible pressurisation des avions mais cette époque est révolue.
Le nerf optique ne s’abîme pas durant un décalage horaire. Si le décalage est très important, à ce moment là il faut mettre le collyre 2 fois et le recaler ensuite sur l’heure locale.
On peut transporter ses collyres dans des sacs isothermes ( en vente en pharmacie).
Oui, mais il faut de préférence instiller les collyres anti-glaucomateux après avoir ôté vos lentilles de contact. Après la chirurgie du glaucome, le port des lentilles de contact peut parfois être plus difficile voire impossible (bulle de filtration très volumineuse).
Oui. Le maquillage des cils et des paupières n’a pas d’incidence sur le glaucome. Mais il est nécessaire de bien se démaquiller pour éviter les irritations oculaires.
Non, il n’y a pas de précaution particulière pour lire. Se servir de ses yeux ne fait pas augmenter la pression intraoculaire et n’aggrave donc pas un glaucome.
Si vous avez été opéré, il faut éviter les infections oculaires qui peuvent être banales sur un œil non opéré mais beaucoup plus graves sur un œil ayant bénéficié d’une chirurgie. Il n’y a cependant pas de contre-indication à se baigner une fois passée la période post-opératoire précoce. Demandez au chirurgien ou à votre ophtalmologiste avant la reprise de telles activités.
Pronostic / Evolution
Non. Il faut se rappeler que pour 80 % à 90% des sujets glaucomateux, la maladie ne donnera aucune atteinte perceptible de la fonction visuelle et se limitera à instiller 1 ou 2 gouttes de collyres par jour. Dans certains cas le glaucome continue à évoluer et des traitements plus conséquents sont nécessaires, mais au final la perte de la vision (la cécité) est rare, de l’ordre de 1% à 2% des cas de glaucomes en France.
Elle est très variable selon la personne. Il est possible de stopper complètement l’évolution.
Oui c’est assez fréquent en cas de glaucome évolué. La pupille qui régule l’entrée de la lumière dans l’œil continue à fonctionner, mais néanmoins les personnes qui ont un glaucome évolué sont sensibles à la lumière pour des raisons de fonctionnement des cellules de la rétine. Souvent ces personnes décrivent le fait que « quand je suis dans l’obscurité et que je passe à la lumière, pendant longtemps je suis ébloui. Et à l’inverse quand je conduis ma voiture et que je rentre dans un tunnel, il faut de longues minutes pour m’habituer à l’obscurité » . Les cellules qui captent et transmettent la lumière au cerveau fonctionnent moins bien et de ce fait leurs capacités d’adaptation aux variations des conditions de l’environnement sont réduites et plus lentes.
Il faut se protéger de la lumière avec des lunettes de soleil adaptées, des verres jaunes, des verres photochromiques. Pour l’adaptation à l’obscurité, malheureusement il y a peu de possibilités de compensation.
Pour la conduite automobile, des critères qui sont très précis permettent de déterminer cela. Ce n’est pas uniquement l’acuité visuelle mais également l’amplitude du champ visuel :
- L’acuité visuelle doit être à 5 dixième ou plus sur au moins un des 2 yeux
- La mesure de l’étendue du champ visuel pour évaluer l’aptitude à la conduite est réalisée par un test spécial, on teste les 2 yeux en même temps, c’est l’examen du champ visuel binoculaire. Pour les véhicules autres que les véhicules légers (bus, camions, etc.) les conditions peuvent être plus strictes. Parlez-en à votre ophtalmologiste et/ou à votre médecin du travail.
Seulement au cas par cas (le glaucome ne fait pas partie de la liste des 30 maladies ouvrant le droit à une prise en charge à 100%, la liste ALD100%)
Recherche
Pas à ce jour, c’est en cours d’étude, mais le nerf optique est une structure complexe et on peut espérer des applications chez l’humain plutôt à un horizon de 10 à 15 ans. Il est à noter que certains centres situés en dehors de l’Union Européenne proposent aux patients d’injecter des cellules souches dans l’œil ou derrière l’œil pour retrouver la vue, cette technique n’a pas d’effets bénéfiques prouvés, elle est potentiellement dangereuse, et souvent très couteuse. Elle est formellement déconseillée par les ophtalmologistes spécialistes du glaucome en France.
Plusieurs nouvelles classes thérapeutiques sont en cours de développement, comme les inhibiteurs de protéines rho-kinases et les donneurs d’acide nitrique. Certaines molécules de ces nouvelles classes thérapeutiques sont déjà utilisées en pratique courante aux USA et en Asie, et devraient l’être en France dans les années à venir.
Questions diverses
Les écrans génèrent une lumière bleue qui peut perturber la sécrétion de mélatonine, qui est l’hormone du sommeil favorisant l’endormissement. La luminosité des écrans peut également être irritante pour les yeux et entraîner un inconfort ou des rougeurs. En journée une utilisation maximale de 6 heures par jour avec des pauses toutes les deux heures est conseillée. Le soir, on déconseille l’utilisation des écrans dans les 2 heures qui perturbent l’endormissement. Par contre, l’utilisation des écrans ne peut pas entrainer l’apparition d’un glaucome ou favoriser l’aggravation d’un glaucome existant, et de ce fait les précautions d’utilisation des écrans sont sensiblement les mêmes que pour tous.
Les liseuses sont conçues pour la lecture, et de ce fait elles n’ont pas ces effets secondaires. On peut les utiliser que ce soit en conditions lumineuses ou dans l’obscurité (dans ce cas sélectionnez un rétroéclairage pas trop lumineux), et le fait de l’utiliser juste avant de dormir ne créera pas de gêne à l’endormissement.
Oui, la pression dans les avions de ligne est bien contrôlée. En cas de changement de méridien horaire, les gouttes sont à prendre en s’adaptant à l’heure locale.
Oui le sport est à conseiller, il améliore le fonctionnement du système cardio-vasculaire. Seuls certains sports sont à éviter : la plongée sous-marine et la pratique de la plongée en apnée par exemple. La natation est parfois déconseillée après une opération, du fait des risques d’infection. Demandez à votre ophtalmologiste ou au chirurgien, on peut parfois utiliser des masques de plongée larges qui couvrent bien les yeux et une partie du visage (alors que les lunettes de natation de petite taille peuvent appuyer sur l’œil).
Toute position ou la tête est plus basse que le cœur est à éviter, comme certaines positions du yoga. Les sports qui font monter la pression intraoculaire comme l’haltérophilie, la musculation intensive, et aussi la pratique des instruments de musique à vent, sont parfois déconseillés.
Une restriction peut être aussi celle liée à l’état de votre acuité visuelle et de votre champ visuel pour certains sports particuliers (conduite automobile, tir, etc.).
Actuellement il n’est pas autorisé en France pour le traitement du glaucome, car s’il réduit un peu et temporairement la pression intraoculaire, il a des effets neuropsychiatriques majeurs. Des recherches sont en cours pour la fabrication de collyre à base de cannabis, qui réduiraient la pression oculaire, mais sans effets secondaires neurologiques ou psychiatriques.
Beaucoup de collyres sont déconseillés ou contre-indiqués en cas de grossesse ou d’allaitement. Si vous avez un glaucome et souhaitez débuter une grossesse, parlez-en à votre médecin traitant, gynécologiste/obstétricien et ophtalmologiste. D’autres solutions existent (autres collyres, laser), et le fait d’avoir un glaucome n’empêche absolument pas le déroulement normal d’une grossesse.
Il n’y a pas trop d’inquiétude. Si vous avez un glaucome et que vous devez avoir une chimiothérapie, dites-le au cancérologue qui va vous donner la chimiothérapie. Il y a peu de chimiothérapies contre indiquées et qui sont délétères pour le nerf optique. Généralement toutes les chimiothérapies sont possibles en cas de glaucome. Parfois pour les personnes qui ont un syndrome sec, la chimiothérapie accentue la sécheresse oculaire. A ce moment-là, prenez des collyres lubrifiants, et augmenter un peu plus la fréquence d’utilisation .
Si vous avez les yeux rouges, les yeux avec de l’inflammation, les yeux irrités, parlez-en à votre ophtalmologue qui pourra vous donner un petit peu d’anti-inflammatoire. Il existe des anti-inflammatoires qui ne font pas monter la pression intra oculaire, ceci pour traiter ou prévenir une conjonctivite ou une inflammation de l’œil liée à une chimiothérapie.
Le glaucome n’est pas un obstacle à une chimiothérapie.
On peut maintenant s’aider de l’intelligence artificielle pour l’interprétation des résultats des examens de diagnostic et de suivi du glaucome (photographies du fond d’œil, OCT et champ visuel).
Dormir la tête légèrement surélevée et ne pas dormir sur le ventre (la pression de l’œil est un peu plus basse avec la tête surélevée).