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Témoignage de :

Madame F.

7 juin 2016

Nous vous dévoilons aujourd’hui le témoignage de Madame F, atteinte de la pathologie depuis plus d’un an.

Comment votre glaucome a-t- il été découvert ?

« J’allais me battre »

Madame F : En juillet 2014, j’étais gênée par une tache noire au centre de mon œil droit. Je ne voyais plus qu’une partie des titres à la télévision. J’ai donc décidé d’aller consulter mon ophtalmologiste pour passer des examens. Les résultats ont révélé que j’avais une atteinte paracentrale de l’œil droit. J’avais donc un glaucome mais avec une atteinte centrale et non périphérique. Quant à mon œil gauche il était à peine touché. J’ai été traitée avec des collyres, puis en novembre 2015 avec du laser et actuellement je mets des collyres matin et soir. En avril, je retourne voir le Professeur Aptel pour qu’il m’explique et que l’on envisage une opération chirurgicale.

Quand le diagnostic est tombé je ne m’y attendais pas. Je ne pensais pas du tout au glaucome. Ça m’a beaucoup inquiété, ça me réveillait la nuit car mon ophtalmologiste m’avait bien fait comprendre que ça pouvait conduire à la cécité. Après j’ai accepté le diagnostic et je me suis dit que j’allais me battre !

Comment vit-on au quotidien avec un glaucome ?

« Par rapport aux dangers de la maladie, ce n’est pas contraignant ! »

Madame F : Je ne vois pas de contraintes liées à la prise de collyres. Du moment que je les supporte, c’est le plus important. Par rapport aux dangers de la maladie, ce n’est pas contraignant !

J’ai peur que ça ait une incidence sur ma vie. J’ai envie de pouvoir continuer à conduire.

Dans mon quotidien, les couleurs des paysages ont changé par exemple. Et je me suis adaptée !

Qu’est ce que vous apporte l’Association France Glaucome ?

« Quand on est atteint d’une maladie, c’est bien de faire partie d’un groupe qui partage les mêmes problèmes. »

Madame F : J’ai connu l’Association France Glaucome sur Internet, en faisant des recherches. Quand on est atteint d’une maladie, c’est bien de faire partie d’un groupe qui partage les mêmes problèmes. J’ai ensuite connu l’UNADEV. Cette association peut apporter quant à elle des aides techniques. Je peux en avoir besoin dans l’avenir.

Propos recueillis par Julia Gacs

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